2. La famille Ravenswood-Henry ? Henry ? Réveille-toi ! M.Berckley est là ! Il t'attend...
Tout ceci n'était qu'un rêve. Un rêve de grande idiotie. Il s'était endormi. DES MINUTES PERDUE ... pensa-t-il. Mais quand il vut l'emplacement des aiguilles sur la grande horloge qui se tenait fièrement dans la pièce ronde, il ne pensa plus au minutes mais au heures. De plus Berkley était là. Cette homme d'a présent une quarantaine d'année, aimait les affaires et travaillait beaucoup. Cette détermination se voyait par les deux grandes poches violette qui se trouvait sous ses yeux vert. Grand au cheveux brun et au visage plein de froideur, il était manipulateur et ça Henry Ravenswood le savait. Justement il de leva et passa devant sa femme pour sortir de la pièce circulaire, pour LE rejoindre.
Arriver dans le grand salon rouge au multiple tableaux, il découvrit Berkley. Accompgné, comme ça grande habitude, de Rohan Wise. Un petit homme trapu qui suivait Berkley partout. Il notait tout et surtout, commentait tout. Au plus grand désespoir de certain. Dont Henry.
-Tobias ! Que me veut l'honneur de ta visite ? Dit Henry Ravenswood d'un air faussement réjoui.
-Henry ! Heureux de te revoir après une si longue absence de ma part.
Il s'avanca pour serrer la main de Henry. Celui-ci la serra durement. Rohan Wise se leva a son tour pour lui serrer la main.
-Et bien... Commença Tobias. Je vien tout d'abord rendre visite a un ami de longue date ! Dit il avec un sourire a en faire peur. Et prendre de tes nouvelles. De toi et ta famille... Comment va Martha ? Et ta fille Aurélie ?
-Mélanie...
-Ha oui excuse moi...
Son sourir avait complètement disparut.
-Écouté je vais être franc avec toi... Je vient parler affaire avec toi...
Affaire... Le mot le plus entendu par les oreilles de Henry Ravenswood. Ces temps-ci tout le monde voulait faire affaire avec Henry Ravenswood. Depuis qu'il avait fait fortune grace à la mine d'or, tout le monde voulait l'approcher.
-Je t'écoute...
-Et bien on en avait parler il y avait quelques temps...
-Vient en au fait !
-Bien. J'ai besoin d'argent. Depuis le départ de Tom plus rien ne va ! Ho Tom... Tout le monde m'en veut ! Je ne connais pas la raison de cette soudaine...
-Non.
-Pardon ?
Le visage de Berkley avait changer d'expression. Il avait la forme du désespoir.
-Tu m'as très bien entendu, j'ai dit non. Et tu en connait la raison. Te prêter de l'argent ? Et quoi encore ! Tu as la mauvaise réputation de ne rien rendre. Et ce n'est pas la seul... Si Tom est partir cela et de ta faute ! Si tout le monde t'en veut c'est parce que tu est endetté jusqu'au coup ! Si je suis ton AMI pour l'argent, part toi et ton larbin !
-Très bien... Si tu change d'avis tu sais ou je me trouve... Aurevoir bonne journée.
Tobias Berkley partit suivit De Rohan Wise. Après la sortit de celui-ci Martha entra. Cette femme ronde et d'une taille normale avait le visage sans grande beauté. Mais avait un certain charme. Elle pris les épaules d'Henry et le fit s'assoir sur le fauteuil rouge. Elle se mit ensuite a ses côté.
-Tom a quitté la ville dans qu'elle période ? Demanda la seul femme de la pièce.
-Il y a tout juste une semaine. A mon grand malheur. Le pauvre se fessait surexploiter par Berkley ! Pourtant il avait un grand potentiel... Pourquoi n'a-t-il pas accepter ma proposition !
Effectivement, il y as un ans de là, le jeune Tom Adamson était arrivé dans la ville de nomment, Thunder Mesa. Se garçon avait une carrure normal, des yeux verts comme l'herbe, les cheveux noir souvent en pagaille et un visage charismatique. Il avait commencé comme employer chez Tobias Berkley. Après certain conseils donner a celui-ci, il avait commencé a ce faire une place dans les affaires. Mais depuis quelques temps il ne disait plus rien. Silence, qui s'abatit sur les affaires de Tobias car elle descendait en flèche. Ce quand pensait Henry ? Il préparait son départ. Un jour Henry Ravenswood lui avait fait une offre. Qu'il refusa amplement. A présent il était partit en lessent aucune trace de lui. D'après certaine rumeur et de Stanley Pirotte (une bonne source) il était partit vers la grande ville de Pearlgrey. Ville ou de trouvait la famille la plus fortuné de tout l'Ouest américain: les Ravendricks. Le jeune homme était partir sûrement apaté par la position de ceux-ci.
-Qu'elle malheur... Un si beau jeune homme. Pourtant il s'entendait bien avec Mélanie... Elle est au courant ?
-Oui elle est. Il formait un beau couple pour un mariage. Continua Henry.
-Je croit que cela est une mauvaise idée de laisser un choix si important a notre fille... Regrée le résultat. Toujours pas de prétendant en vue à part se regretter Tom...
- Je lui est promis. Elle ma promis. Elle trouva. Et si non. Je lui trouverait avant ses 20 ans.
-Bien. Je voulait te prévenir. Je vais prendre le thé chez Mme. Carthow. Nous nous rejoignons pour le diner ?
-C'est d'accord. A ce soir. Et donne mes salutations a la nouvelles fiancée...
Martha disparut quand la porte fut fermée. Henry se leva pour lui aussi sortir de la pièce rectangulaire. Il partit rejoindre son bureau qui, Manfred les meubles encombrant, paraissait trop vide. Sans vie. Un manque de décorations. C'est vrai qu'un bouquet de fleurs aurait donné un air plus frai a cette pièce. Que se soit les meubles, la couleurs de la lampe ou les tableau, il avait tout choisis. Le reste du manoir avait été entièrement décorée par sa femme. Elle avait rendue la pièce plus conviviale. Le manoir se dressait sur le haut de la Colline de Boot Hill. L'extérieur était imposant et l'interieur était doux et chaleureux. La visions de la grande maison victorienne dit sourit Henry. Elle représentait la réussite de Henry Ravenswood. Et sa fille sa fierter. Sa fille, Mélanie, jolie fille au visage d'ange et au cheveux roux, elle avait une gentillesse exceptionnel. Sa gentillesse venait de sa mère. Sa beauté d'un miracle. Elle avait aussi le caractère Joyeux. Elle se baladait en fredonnant des chansonnette que sa mère lui avait chantée étant petite. En réalité Henry ne voyait pas grand choses de lui a part sa capacitee d'avoir se qu'elle voyelle et d'être débrouillarde. Elle avait en se jours 19 ans. Dans un mois 20 ans. Henry s'était promis de la fiancée avant l'anniversaire de ses 20 ans. Le père de famille aimait sa fille plus que tout au monde. Mais il savait qu'il n'était pas le meilleur père au monde... Il était même catastrophique. C'est pour pour cette raison qui a l'air plutôt banale, que Mélanie ne parlait plus depuis une semaine.
Voilà ! Très lent. Mais la véritable histoire arrive après