Nouvelle nouvelle : The Shinning

Bizarre ! On est que 2 à lire son récit... (qui est pourtant génial)

Non non je vous rassure, je le lit aussi !
Bravo, j'ai hate de savoir la suite, en tout cas bonne idée cette scène du pianno hanté (pas si hanté que ca au final )

J'allais justement écrire à quel point la scéne du corbeau ressemblait au poéme d'Edgar Poe,... Juste avant de continuer plus bas et de me rendre compte que tu le mentionne, juste aprés !

J'allais dire ENFIN !

Mais là, je dis... C'EST TOUT ?

Il a dit dans un de ses postes: Il travail
Sinon impatient pour la suite !

Rocker Man a écrit:

Il a dit dans un de ses postes: Il travail

Je sais qu'il a beaucoup de travail, je respecte ça, mais bon, nous poster une si petite suite...

Certes, mais l'intensité de cette portion congrue est supérieure à celle accumulée jusqu'à lors tout au long de l'histoire. La suite demain, plus longue et plus intéressante. Dans deux-trois ans le chapitre 17 sera fini.

Certes, mais l'intensité de cette portion congrue est supérieure à celle accumulée jusqu'à lors tout au long de l'histoire. La suite demain, plus longue et plus intéressante. Dans deux-trois ans le chapitre 17 sera fini.


suite du chapitre 17


- Un whisky, monsieur Torrance ?
- Vous êtes vraiment le meilleur, Jasper. Un whisky, bien sûr. J’ai toujours dit que vous étiez le meilleur.
- Merci, monsieur Torrance.

Et Jasper versa un fond de whisky dans le verre qui venait d’apparaître sur la table. Puis il posa la bouteille, et mit deux glaçons dans le verre, que Jack avait déjà saisi. Les blocs de glace tombèrent lentement dans l’alcool. Jack leva son verre et prit une grande inspiration.

- Au meilleur servant de tout le Colorado, Jasper Jones !

Et il le vida d’un trait, laissant les glaçons tinter mollement au fond. A peine Jack avait posé son verre que Jasper le remplit à nouveau. Cette fois, Jack ne le but pas tout de suite. Après un silence pesant, Jasper prit la parole, sur un ton compatissant, mais distant quand-même.

- Monsieur a-t-il passé une bonne journée ?

Jack fit non de la tête. Puis il but une gorgée. Encore quelques secondes de silence.

- Je l’adore, ce gosse, dit Jack, en criant presque. Je l’adore, jamais je ne lui ferais de mal.

On sentait bien la colère qui l’habitait encore. Mais Jasper restait impassible, toujours droit, impeccable.

- Vous voulez savoir, Jasper ? chuchota Jack en se penchant sur la table. c’est elle. C’est de sa faute, elle m’empêche de faire ce que je veux. Elle ne veut pas que je considère Danny comme mon fils. Elle m’a toujours bridé.

Il finit son verre d’un seul coup, et le poussa au milieu de la table. Jasper ne le remplit pas.

- Jack ! hurlait Wendy en descendant le grand escalier. Jack !

Elle entra en trombe dans la salle de bal, faisant trembler le verre de Jack et le grand lustre.

- Jack, il y a quelqu’un d’autre dans le manoir ! dit-elle à bout de souffle.
- Quelqu’un d’autre, hein ? demanda Jack sur un ton très sarcastique. Tu ne deviendrais pas folle, toi aussi ?
- Non, Jack, Danny me l’a dit, il y a une femme dans le boudoir. Elle l’a agressé quand il y est entré.
- Bon, je vais y aller, dit Jack, plus pour avoir la paix que pour rassurer sa femme.

Jack monta tranquillement le grand escalier, suivi par Wendy, qui séchait ses larmes. Elle continua jusqu’au deuxième étage pour retrouver Danny dans la chambre. Jack s’avança vers le couloir, dont toutes les lampes étaient allumées. Malgré le chauffage lancé à fond, Jack frissonna quand il vit la porte du boudoir entrouverte à l’autre bout du corridor. Les miroirs posés sur les murs rouges semblaient aspirer la lumière des lustres, qui se couvraient peu à peu de toiles d’araignée. Mais Jack ne s’en souciait pas. Son regard était fixé vers la porte du boudoir.

Il marchait doucement, sans faire de bruit, même s’il savait que c’était inutile. Les lourds tapis sur le sol, rouges eux aussi, amortissaient le bruit de ses pas. Il arriva devant la porte. Il entendit le vent souffler dehors, et sentit un courant d’air frais qui venait de la pièce. Il tendit le bras vers la poignée de la porte. La clé était suspendue dans la serrure. Danny l’avait subtilisée dans le bureau du rez-de-chaussée.

Jack agrippa la poignée et ouvrit la porte lentement. La fenêtre principale, entourée par deux fenêtres plus petites, était ouverte. Le vent s’engouffrait dans la pièce, faisant voler les rideaux blancs et légers. Il faisait froid dans la pièce. Des livres étaient renversés sur le sol devant la bibliothèque. Une boîte à musique jouait un air mélancolique. Jack fit quelques pas en avant, en veillant toujours à ne pas faire de bruit. Il regarda tout autour de lui. Il n’y avait personne. Jack sourit et s’apprêta à partir quand il entendit le cliquetis de la fermeture de la boîte à musique.

Il tourna vivement la tête vers la droite, et il la vit. Une personne en robe de mariée était assise sur une chaise en bois. Elle venait de fermer sa boîte à musique. Jack était estomaqué. Il ne parvenait pas à bouger. Il voulait savoir qui était cette mariée, contempler son visage, mais il voulait aussi fuir, fermer la porte à clé, quitter le manoir et ne plus jamais y revenir. Mais il restait là, debout au milieu du boudoir, le rideau caressant parfois son visage sous l’effet du vent.

Le miroir du secrétaire devant lequel se tenait la mariée ne reflétait plus rien. Les lumières de la pièce et du couloir faiblirent. La mariée tourna son visage blanc vers Jack, toujours immobile. Elle se leva nonchalamment, sans faire de bruit. Elle devait avoir vingt ans. Ses cheveux étaient roux, tirants sur le brun. Elle portait un médaillon en or. Elle s’avança vers Jack comme un fantôme, sans paraître marcher.




Attention, le prochain passage (lundi normalement) est réservé aux adultes. Je vais enfin introduire de la fesse.

Maggie Simpson a écrit:

Attention, le prochain passage (lundi normalement) est réservé aux adultes.

Le truc à dire qui va faire venir tout le monde

Maggie Simpson a écrit:

Je vais enfin introduire de la fesse. :l?asurprise:

Trop fort ! Phantom nous fera un streap-tease tandis, et Ma Ballard fera la gogo-danceuse.


PS : Ahhhhhhhh, ça fait du bien de pouvoir réutiliser ces smiley

Culte le passage du bar

suite du chapitre 17


Le vent s’apaisa, et le silence s’installa dans la pièce. Les rideaux cessèrent de caresser Jack, mais il ne réagissait toujours pas. Il avait toujours une expression de surprise. La mariée enleva doucement son médaillon et le posa sur le boudoir, tout en fixant Jack des yeux. Aucune expression ne paraissait sur son visage pâle. Jack se mit à sourire, comme un gamin contemplant son œuvre après avoir fait une farce

La mariée fit glisser sa robe à terre. Elle était entièrement nue, malgré la fraîcheur de la pièce. Mais sa peau imberbe restait étonnamment lisse, et toujours aussi pâle. Elle s’approcha de Jack, lui tendant la main droite. Il eut un sourire carnassier, prit la main de la jeune femme, la tira violemment vers lui et l’embrassa goulûment sur la bouche.



La suite vraiment cochonne je sais pas quand, j'arrête les promesses puisque je ne peux pas les tenir.

Un peu court mais bon.

J'aime bien, c'était assez soft donc ça va...


Pas besoin de suites vraiment cochonnes, ton récit est très bien comme il est !

Et c'est toujours un plaisir de te lire.

Sacré Jack