Une âme, un coeur pour ton bonheur.

lelia a écrit:

et moi je veux bien un rôle si je conviens...

d'accord, tu sera inclue dans la fic

princesse du phantommanor a écrit:

lelia a écrit:

et moi je veux bien un rôle si je conviens...

d'accord, tu sera inclue dans la fic

Oh ça ce n'est pas obligatoire, mais si la pièce se joue je veux bien participer.

Déjà elle sera écrite en fic, après je ne sais pas si elle sera adaptée sur scène, mais ça serait bien
Vous m'avez donné une excellente idée chère Lelia : que tous les membres qui veulent un rôle dans la pièce (écrite pour l'instant, et ce n'est qu'une fic^^) me le fassent savoir, je vais voir ce que je peux faire

XII.

Ils dansaient tous deux, une expression de bonheur illuminait le visage de Martha. La cérémonie avait été simple et rapide, Henry n'avait manifesté aucun sentiment, mais régulièrement son regard effleurait avec envie la boîte chargée de récolter les sommes offertes pour le mariage. Martha l’avait remarqué mais ne s’en était pas inquiétée.
Anna entra dans la salle, elle portait la même robe que quelques heures plus tôt, ses yeux s'arrêtèrent sur les jeunes mariés, bien vite son regard croisa celui d'Henry. Lorsque Martha lui parla, Henry n'entendit pas. Très vite la jeune mariée comprit ce qui fascinait son époux.
« Je dois reconnaître qu'elle est très belle » se dit-elle « Mais il est à moi, jamais il n'osera s'afficher en public avec cette gourgandine,autant qu'il s'en rende compte tout de suite ».
« Tu devrais aller saluer notre nouvelle invitée, je meurs de soif je serai près du bar ».
Henry observa attentivement Martha,
« N'est-ce pas à la mariée d'accorder un mot gentil à chacun? »
« Oh tu ne t'en tireras pas aussi facilement Henry Barkle » pensa martha.
« Tu la connais bien mieux que moi, tu sauras la mettre à l'aise. »
Avant que son époux ait eu le temps de dire quoi que ce soit Martha se dirigea vers le bar.
Henry n'avait plus le choix. Martha le vit se diriger vers l'entrée et s'arrêter face à Anna.
« La gène semble embaumer l'air » se dit Martha en riant.
Elle remarqua qu'un vieil homme venait de se placer à ses côtés, lorsqu'elle se tourna vers lui elle reconnut le vieux ben.
« Tous mes voeux de bonheur ma petite! »
« Je vous remercie cher Monsieur... »
« Me permettez-vous d'embrasser la mariée, après tout je ne suis pas étranger à votre bonheur. »
Martha se laissa embrasser... « Que voulez-vous dire? »dit Martha.
« Ces fameuses hésitations qui minaient votre époux, je suis parvenu à les faire disparaître ! Vous comprenez une si belle parcelle ne pouvait être donnée à n'importe quel aventurier, dés que je vous ai vue j'ai su que vous apporteriez à Henry l'équilibre dont il avait tant besoin... Vous voyez j'ai bien fait! »
« Surtout reste calme, attends, attends... » se dit Martha.
« Cher vieux Ben » dit-elle » Vous êtes un ami précieux. »
« Oh ce n'était pas grand chose! Maintenant si vous le permettez je vais me retirer, cette nuit appartient aux jeunes ». Ben s'éloigna.
Martha vit son époux seul dans un coin. « Ainsi elle ne t'a pas tenu compagnie. » pensa t’elle. « Cher Henry tu me prends pour la dernière des idiotes ! » Elle s'avança vers lui.
« Pouvons-nous nous voir en privé ? » demanda Martha. Henry avait déjà entendu ces mots aujourd'hui.
« Je te suis. » dit henry.
Elle l’emmena dans une pièce adjacente ferma la porte, et l’embrassa fougueusement.
Henry ne résistât pas, le baiser terminé, il lança : « Ah c’était donc cela» et il la réembrassa. Soudain une gifle violente et sèche.
« Douceur et douleur, à toi de les ressentir. » lui dit Martha
« Qu’est-ce que cela veut dire ? » demanda Henry .
« Qu’est-ce qui te prend ? »
« Comment disais-tu déjà ? Martha, si c’est ce que tu désires je t’épouserai, j’ai prit ma décision…. » Elle frappait le torse d’Henry.
« Espèce de menteur ! Tu voulais cette parcelle à tout prix n’est-ce pas ? Je t’ai été utile ? »
« Ben espèce d’imbécile ! » pensa henry.
« Très bien, très bien je l’admets je voulais cette terre, mais t’ai-je jamais caché quelles étaient mes ambitions ? Ne t’ai-je pas dit que j’étais incapable d’aimer ? Franchement lequel de nous deux s’est-il mentit à lui-même ? »
« Je suppose que l’argent qu’on nous a offert, ce soir, ne servira pas à améliorer notre style de vie. Tu es sans doute incapable d’aimer un être humain mais tu aimes cette parcelle. » rugit Martha.
« Cette parcelle ma chère finira par changer notre vie, je le sens. Alors oui, cette somme d’argent lui sera dédiée. »
Martha le regardait avec rage.
« Je t’ai donné ce que tu voulais, tu es ma femme ».
Sur ces mots Martha se calma. « Il est à toi » se dit-elle.
Elle le regarda avec défit : « un jour henry Barkle tu m’aimeras pour de bon, tu ne pourra plus te passer de moi ! Tu me crois naïve, mais sache que rien de ce que tu fais ne m’est inconnu. »
Elle était troublante.
« Tu me dois le respect mon chéri, alors nous allons aller retrouver nos invités et tu te comporteras comme le meilleur des époux et peut-être le deviendras-tu réellement un jour. »
« Tu es étonnante » dit-il.
« Encore plus que tu ne le crois. » dit-elle.

Olalala, J'espere qu'il n'y aura pas de divorce :s Vivement la suite

franchement je verrais bien ta fic adaptée en film...continue

J'adore ton histoire bravvvvvvooooooo !
excellent ma note 20/20.
J'attend la suite avec impatience.
J'adorerai recevoir l'histoire avec les moments non coupés !

JORIS a écrit:

J'adore ton histoire bravvvvvvooooooo !
excellent ma note 20/20.
J'attend la suite avec impatience.
J'adorerai recevoir l'histoire avec les moments non coupés !

Il est vrai que je coupe certaisn moments de peur de trop ralentir l'intrigue. Je verrais ce que je peux faire Joris.

merci au fait souhaitez moi bonne chance car je suis en vacances et que je vais commencer à réviser mon histoire.

JORIS a écrit:

merci au fait souhaitez moi bonne chance car je suis en vacances et que je vais commencer à rédiger mon histoire.

Vivement que tu la poste
bonne chance pour ta fic

merci.

JORIS a écrit:

merci au fait souhaitez moi bonne chance car je suis en vacances et que je vais commencer à rédiger mon histoire.

Bonne m...rde!!!!! Vivement l'arrivée de ta fic!

XIII.

Les mortels ont une vie courte et vivent dans la peur de la perdre. Cette crainte engendre une attitude typiquement humaine et lâche : l’homme ne tente pas, ne mise pas ce qu’il pourrait perdre. L’homme s’enlise dans l’ennui et l’habitude. Un facteur essentiel à la vie mortelle semble disparaître peu à peu de part ce manque de risque : l’amour véritable s’estompe.

Quelques part dans les limbes, un songe :

Des hurlements, plus précisément des cris de femme, elle court. Sans freiner sa course elle se retourne parfois pour apercevoir ses poursuivants. Cette femme est pourchassée dans sa propre maison.
Un jeune homme entre dans la demeure et hurle : « Laissez-la tranquille ! »
Les hommes ne l’écoutent pas, le jeune homme grimpe à présents les escaliers et suit les cris. Soudain silence.
Le jeune homme se trouve seul dans un couloir aux nombreuses portes, l’une d’elle s’ouvre, une main l’agrippe.
« Mère est-ce vous ? »
« Mon fils tout est fini rien ne sert de résister, jamais ils ne nous laisserons en paix. »
« Mais mère ! »
« Répète après-moi : une âme, un coeur pour mon bonheur. »
« Une âme, un coeur, pour mon bonheur. » répéta le fils.
« La mort n’est rien mon fils, la mort n’est qu’une porte. »
A ce moment précis la porte fut ouverte, trois hommes vêtus de noir enserrèrent les fugitifs.
« Mère ! »
« La mort n’est rien ! » dit-elle.
« A mort l’hérétique ! A mort la sorcière et son bâtard. »
« Brûlons-là ! » dit un des hommes.
« Nous n’en avons pas le temps ! Décapitons-là, ensuite viendra le tour du garçon. »
Les hommes forcèrent la dame à s’accroupir, tête contre le sol.
« Force des limbes je t’invoque : une âme, un cœur pour mon bonheur… »
« Mère ! »
La tête roula au sol.
« A son tour ! » dit un des assassins.
« La mort n’est rien, la mort n’est rien… ! » lançait le fils.

Prise de conscience, dans les limbes 20 ans après.

« Mère cesser de me rappeler cet évènement horrible ! »
« Il le faut mon enfant, l’heure est proche ! Il aura besoin de toi… »
« Une âme, un cœur pour notre bonheur. » dit la mère.
« Tout ce que je souhaiterais c’est être libéré de vous. » pensa le fils.

Il est magnifique ce chapitre...j'adore

princesse du phantommanor a écrit:

Il est magnifique ce chapitre...j'adore

Tu me fais très plaisir car j'avoue que ce chapitre n'a pas été facile à écrire! je pense que je délire avec la fièvre donc plus d'écriture aujourd'hui.