Une âme, un coeur pour ton bonheur.

Maggie Simpson a écrit:

Depuis le temps je croyais que tu avais abandonné ton histoire en cours de route !

Les études et le travail passent avant les loisirs !

Cela dit j'attends la suite avec impatience.

Il est vrai que les études sont plus importantes mais espérons que j'en sois débarassées le 7... Merci.

J'ai été à la fac aujourd'hui bien content de venir me reposer ici en lisant tes futurs chapitres.

Mélanie sut que ce jour était important, voire crucial, elle prit une profonde respiration et entra dans la pièce.
"Ils vont vous dévorer tel les lions dans l'arêne!" lui avait-on dit.
Peu peu à peu elle se rendit compte que si elle se trouvait effectivement dans une arêne, les rôles s'étaient inversés... De victime elle était devenue prédatrice....

Remplacer Mélanie par Lelia et bon dieu souhaitez-moi le meilleur...

Courage compagnon et machin tout ça !

Bon c'est peut-être trop tard, mais ait ta thèse et continue ton roman !

Maggie Simpson a écrit:

Courage compagnon et machin tout ça !

Bon c'est peut-être trop tard, mais ait ta thèse et continue ton roman !

Eeeeeeetttt....... ça y est! Je l'ai! Je suis libre, adieu unif, adieu lieu de la soi-disant libre pensée!

Merci Maggie, c'est très gentil à toi! Allez tiens pour une fois: je te fais un bisou.

Sur la joue.

lelia a écrit:

Merci Maggie, c'est très gentil à toi! Allez tiens pour une fois: je te fais un bisou.

Sur la joue.

Berk, un bisou de fille !

Félicitations machin tout ça et maintenant pour ton histoire

AU BOULOT !

Maggie Simpson a écrit:

lelia a écrit:

Merci Maggie, c'est très gentil à toi! Allez tiens pour une fois: je te fais un bisou.

Sur la joue.

Berk, un bisou de fille !

Félicitations machin tout ça et maintenant pour ton histoire

AU BOULOT !

Oui chef!

Bonne chance Lelia pour tes futurs chapitres !

Merci Jojo!

Yeepiie, Lelia est LIBRE ! Vive la suite de cette fabuleuse histoire !!

Sintes a écrit:

Yeepiie, Lelia est LIBRE ! Vive la suite de cette fabuleuse histoire !!

Merci gentil Sintes.

Coucou Lelia,

je viens de finir de lire ta fiction jusqu'à l'endroit où tu t'es arrêtée, et je voulais te dire que moi aussi j'ai très hâte de lire la suite !
je trouve que tu fais bien d'amener chaque passage en son temps, et que tu ne cherches pas à bâcler.

J'ai bien apprécié le fait que tu racontes les évènements : rencontre de Henry et Martha, exploitation de la parcelle, travail de Martha, réception, accouchement, ça désaltère ma curiosité et c'est très plaisant. Et bien sûr le fait que tu donne vie à de nouveaux personnages comme le vieux ben, la femme du maire, et les autres, et que tu aies donné un rôle au corbeau de PM.
(la variété du vocabulaire et des termes que tu emploies donne de la légerté et rend la lecture agréable.)

Bon courage à toi pour la suite, reprends quand tu trouveras l'inspiration et que tu le sentiras, avant de reprendre pour le plaisir des lecteurs... Nous sommes de grands enfants qui savons patienter pour les histoires...

luciole a écrit:

Coucou Lelia,

je viens de finir de lire ta fiction jusqu'à l'endroit où tu t'es arrêtée, et je voulais te dire que moi aussi j'ai très hâte de lire la suite !
je trouve que tu fais bien d'amener chaque passage en son temps, et que tu ne cherches pas à bâcler.

J'ai bien apprécié le fait que tu racontes les évènements : rencontre de Henry et Martha, exploitation de la parcelle, travail de Martha, réception, accouchement, ça désaltère ma curiosité et c'est très plaisant. Et bien sûr le fait que tu donne vie à de nouveaux personnages comme le vieux ben, la femme du maire, et les autres, et que tu aies donné un rôle au corbeau de PM.
(la variété du vocabulaire et des termes que tu emploies donne de la légerté et rend la lecture agréable.)

Bon courage à toi pour la suite, reprends quand tu trouveras l'inspiration et que tu le sentiras, avant de reprendre pour le plaisir des lecteurs... Nous sommes de grands enfants qui savons patienter pour les histoires...

Ouais, comme elle dit là. Tes expériences d'archéologie vont-elles intervenir dans la suite de l'histoire (puisque Henry creuse) ?

XXXI.

Sept ans s’étaient écoulés, la famille Ravenswood avait prospéré. Comme prévu Martha ne se souvenait guère de cette nuit sanglante où Mélanie avait vu le jour. La fortune de la famille n’avait fait que s’accroître un peu plus chaque jour, Henry avait maintenant sous ses ordre une cinquantaine d’ouvriers dans ce que les gens de Phantom canyon appelaient à présent Big thunder Mountain.
La réputation d’Henry s’était agrandie, bien qu’il fût considéré par tous comme un véritable tyran. Il n’était pas rare de le voir maltraiter un ouvrier sans raison apparente. Mais la violence est une chose facilement masquée par un salaire conséquent. Les ouvriers étant grassement payés, nul n’aurait osé remettre en question l’humeur du maître.
Martha quant à elle était devenue une véritable maîtresse de maison, s’affairant chaque jour à donner au manoir Ravenswood une réputation de gloire et de puissance. Peu de chose dans la ville se faisait sans son approbation : chaque nouvel arrivant était reçu au manoir et devant une telle opulence peu de personnes déclinaientt un poste à la mine, c’était ainsi que la main d’œuvre grossissait, chaque jour un peu plus, la séduction opérée par le manoir et ses propriétaires provoquait irrémédiablement un grossissement de la population de Phantom Canyon, chaque nouveau pionnier espérant faire fortune à l’image d’Henry Ravenswood.

Cet accroissement démographique donnait un essor important à la ville et peu s’en plaignait, à l’exception du maire et de son épouse. En effet, la mairie ne semblait plus être un passage obligé pour bon nombre de nouveaux arrivants : ce qui comptait, une fois à Phantom Canyon, était de se rendre au manoir afin d’être présenter aux véritables dirigeants de la ville, le couple Ravenswood. Si Phantom Canyon eût été une monarchie, Henry en eût été le roi incontesté.

L’épouse du maire pestait tant et plus sur cette situation, son statut de première dame de la ville ayant été occulté par la position envahissante de Martha. Bien qu’elle souhaitait ardemment le déclin des Ravenswood, tenter le moindre incident à l’encontre du couple eût été pure folie. L’épouse du maire devait attendre son heure, en espérant un faux pas.
Elle crut sa revanche venue lorsque d’étranges rumeurs coururent à propos de la progéniture Ravenswood :

Mélanie était devenue une charmante petite fille de 7 ans, de longues boucles rousses, de grands yeux verts et des lèvres roses paraient son visage d’une beauté peu habituelle pour une enfant de cet âge. Ses membres longs et fins complétaient un tableau enjôleur. Mélanie avait hérité de la beauté de son père, quiconque portait les yeux sur elle ne pouvait en douter.
Seule héritière du couple, l’enfant était choyée, rien ne semblait trop beau pour elle. Son père ne tarissait jamais d’éloge sur la fillette et l’emmenait avec lui en de très nombreuses circonstances. Les habitants de Phantom Canyon murmuraient d’ailleurs "Que le père s’ornait de sa fille tel un magnifique accessoire", mais la douceur et l’intelligence de la petite faisait bien souvent taire tous les commérages. Son charme opérait immédiatement et lorsqu’elle regardait une personne, il n’était pas rare de voir celle-ci fondre, devant ce petit bout de femme.
Martha avait convaincu son époux de laisser Mélanie participer à la classe de la ville. Afin disait-elle « Que chacun puisse voir en Mélanie le signe d’une famille puissante mais accessible ».
Il ne faisait aucun doute que, si Mélanie faisait la fierté de son père, sa mère la voyait comme un trésor à utiliser, un message de propagande.
Loin de ces considérations adultes Mélanie s’était réjouie à l’idée de participer à la classe et de rencontrer des camarades de jeu.
Dés ses cinq ans la fillette fût donc scolarisée comme tout enfant de Phantom Canyon. Si les premières années se déroulèrent sans problème apparents, tout changea lorsque Mélanie fêta ses sept ans.
Pour l’occasion elle avait demandé à ses parents d’organiser une fête à laquelle seraient conviés ses camarades de classe et leurs parents.
Trop heureux de faire plaisir à leur fille (et par le même biais d’inviter la population à admirer le faste et la générosité des grands Ravenswood), les parents cédèrent.
Le manoir fut recouvert pour l’occasion d’une fine tulle rose, visible de Big Thunder Mountain. Jeux en tous genre avaientt été organisés dans le vaste jardin, musicien, magiciens et jongleurs avaient spécialement fait le déplacement depuis Washington.
Mélanie vêtue d’une robe de soie bleue rehaussée de dentelles accueillait ses camarades sur le perron, tandis que les époux Ravenswood conviaient les parents à admirer la demeure.

La fête battait son plein lorsqu’Henry décida de présenter à sa fille et à ses invités son cadeau d’anniversaire : un splendide poney blanc.
« Oh papa il est splendide, vous êtes le plus adorable des petits papa ! » dit Mélanie, les yeux brillants d’excitation à l’idée de monter le bel animal.
« Rien n’est trop beau pour toi mon amour » répondit Henry.
Si l’opulence de la fête n’avait jusque là gêné en rien les invités, l’arrivée du poney rendit l’ambiance glaciale.
Depuis le début de sa scolarité Mélanie avait toujours été considérée comme une enfant normale, les excentricités dont ses parents faisaient preuve à son égard ne restaient pour les habitants de Phantom canyon que de vagues rumeurs. Mais l’arrivée du poney venait de transformer la dite rumeur en réalité tangible. Une réalité qui, pour bon nombre d’invités, affichait à présent le goût des Ravenswood pour le luxe et la décadence.
Certes Henry Ravenswood avait donné du travail à la plupart de la ville, certes Martha avait toujours accueilli chaque famille avec la plus grande courtoisie, mais il n’en demeurait pas moins qu’un fossé inaccessible séparait la ville de Phantom Canyon du manoir Ravenswood : les habitants ne vivaient pas dans l’opulence, si bien que les présents d’anniversaire concédés aux enfants consistaient, pour la plupart, en petits jouets en bois, taillés à la main… Et là devant des enfants médusés se tenait un poney, un animal de rêve, synonyme d’évasion, portrait vivant d’un luxe inaccessible.

Mélanie ne se rendit pas compte de la lourde atmosphère qui venait de s’abattre sur sa fête, elle dévorait le poney des yeux et trépignait d’impatience.
Henry quant à lui préféra ignorer la réaction de ses concitoyens, il fit signe au majordome de s’occuper de mettre Mélanie en selle et rentra à l’intérieur suivi de ses maussades invités. Ceux-ci après quelques minutes décidèrent ( à la vue de l’énorme buffet et de l’imposant bar) d’oublier le poney et la mine envieuse de leurs progénitures.
Mais si l’homme est facilement distrait de ses désirs, ce n’est pas le cas des enfants.
Ils formèrent un cercle autour de Mélanie, du majordome et du poney. Une fois en selle Mélanie pria le majordome de rentrer dans le manoir, elle se débrouillerait seule. Le majordome connaissait l’enfant, il l’avait vue monter en compagnie de son père sur des chevaux bien plus grands aussi ne s’inquiéta-t-il pas et rentra dans la demeure.

« Allons poussez-vous un peu, que je le fasse courir » intima gentiment Mélanie à ses camarades. Mais les enfants ne bougèrent pas, ils dévisageaient Mélanie d’un regard cruel et envieux qu’elle ne leur avait jamais vu.
Elle s’adressa alors à quelques uns par leur prénom :
« Blanche, John, Lisa, laissez-moi passer ! »
John, petit garçon replet aux cheveux roux regardait Mélanie d’une regard noir :
« Laisse-moi monter sur le cheval" intima-t-il.
« Allons John, c’est mon cadeau, n’est-il pas normal que je le monte en premier ? » répondit-elle.
« Tu auras toute la vie pour le monter, laisse-le essayer » renchérit Lisa.
Les enfants unirent alors leur voix :
« Laisse-le-monter, laisse-le monter ! »
Les enfants hurlaient à présent, et si Mélanie ne semblait guère impressionnée, ce n’était pas le cas du pauvre poney qui devenait de plus en plus nerveux.
« Vous aurez chacun votre tour, mais je serai la première à monter! Ce poney est à moi! "insista Mélanie en tenant fermement les rennes.

Les enfants resserrèrent le cercle et John s’approcha plus près. Sans un mot, il sortit une aiguille de sa poche et, avec un sourire malsain, piqua le flanc du cheval. La bête parti au galop sous les rires et les cris des enfants.
Mélanie apeurée s’agrippa de toutes ses forces à la bête, mais, lorsqu’après 200 m, la bête se cabra Mélanie tomba violement en arrière.
Les cris se turent, les enfants, ayant tout vu de la scène, ne bougeaient pas.
Mélanie se releva lentement, aucun son ne sorti de sa bouche.
Interpellé par le vacarme, maintenant interrompu, Henry sortit sur le perron et en un instant compris ce qui venait de se passer, et se rua vers sa fille.
Une fois à sa portée il voulut prononcer un mot, mais le regard furieux de la fillette l’en empêcha, Mélanie voulait qu’il se taise, elle tendit un doigt vers les enfants et son père compris qu’elle voulait que ceux-ci partent sur le champ.
Fou de rage Henry Ravenswood fit demi-tour, à sa venue les enfants se précipitèrent dans la maison.
« Tout le monde dehors, sortez tous ! Bande d’ingrats, bande d’idiots ! Sortez, vous et votre maudite marmaille ! ».
Les habitants de Phantom Canyon connaissaient les humeurs d’Henry Ravenswood et aucun n’osa contester son ordre. Chacun attrapa son enfant et sortit de la demeure sans demander son reste.
« Henry mais enfin que fais-tu ? « demanda Martha.
Quelques explications plus tard Martha sortit dans le jardin à la recherche de sa fille.
« Mademoiselle est partie en courant vers la mine, Madame » indiqua le majordome. « Elle ne semblait pas blessée. Je pense qu’il vaut mieux la laisser seule ».
Henry avait suivi son épouse:
« Comment osez-vous nous dire comment nous comporter vis-àvis de notre fille ? Hurla-t-il.
« Laisse ! » Intima Martha. « Ce qui est arrivé aujourd’hui se répétera, Mélanie se souvent victime de la jalousie de ses congénères. Plus tôt elle parviendra à s’endurcir mieux ce sera. Rentrons et attendons-la ».
Henry comprit et sans un mot il rentra.

luciole a écrit:

Coucou Lelia,

je viens de finir de lire ta fiction jusqu'à l'endroit où tu t'es arrêtée, et je voulais te dire que moi aussi j'ai très hâte de lire la suite !
je trouve que tu fais bien d'amener chaque passage en son temps, et que tu ne cherches pas à bâcler.

J'ai bien apprécié le fait que tu racontes les évènements : rencontre de Henry et Martha, exploitation de la parcelle, travail de Martha, réception, accouchement, ça désaltère ma curiosité et c'est très plaisant. Et bien sûr le fait que tu donne vie à de nouveaux personnages comme le vieux ben, la femme du maire, et les autres, et que tu aies donné un rôle au corbeau de PM.
(la variété du vocabulaire et des termes que tu emploies donne de la légerté et rend la lecture agréable.)

Bon courage à toi pour la suite, reprends quand tu trouveras l'inspiration et que tu le sentiras, avant de reprendre pour le plaisir des lecteurs... Nous sommes de grands enfants qui savons patienter pour les histoires...

Oh je n'avais pas vu, ce gentil mot, merci chère Luciole ( Miss Rébecca ). Voici la suite, enfin une partie....Seigneur quand aurais-je fini cette histoire?